Clinique Alleray-Labrouste

Clinique médico-chirurgicale

Pneumologie

Les maladies respiratoires sont très fréquentes et représentent la première cause de consultation en médecine de ville.
Ces maladies sont très nombreuses, allant de la simple bronchite au cancer du poumon, en passant par la bronchite chronique (liée au tabac), l'asthme, l'emphysème, le mésotheliome pleural (lié à l'exposition à l'amiante), la silicose (inhalation de poussières chez les mineurs de fond), la pneumonie ou les pleurésies, l'embolie pulmonaire et les manifestations multiples liées aux allergies respiratoires.

Beaucoup d'autres maladies, moins fréquentes, peuvent endommager l'appareil respiratoire, qui est très vulnérable en raison de son exposition permanente (fait unique dans le corps humain) avec l'extérieur.
A chaque respiration, 1/2 litre d'air entre et sort du poumon : tout ce qui se trouve dans l'air que nous respirons est donc potentiellement TOXIQUE pour l'appareil respiratoire.
Il suffira de penser à la fumée de cigarette, aux poussières de toute nature (poussière domestique, ciment, charbon, amiante, silice, métaux lourds,  moisissures), aux pollens et squames d'animaux, aux vapeurs et gaz toxiques (allant des laques  pour les cheveux, aux parfums, aux émanations toxiques industrielles, à la pollution  atmosphérique : ozone, NO², SO², oxyde de carbone) et à tant d'autres.

L'immense majorité des maladies respiratoires se manifeste par des symptômes simples et très courants : la toux et la dyspnée (sensation de mal respirer). Il est donc impératif de consulter un médecin, car une simple toux peut être le symptôme révélateur d'une maladie respiratoire grave, par exemple, un cancer du poumon ou de la plèvre.

La radiographie pulmonaire est le premier examen qui doit être demandé, car il est simple à réaliser dans n'importe quel cabinet de radiologie, peu coûteux et très fiable dans la grande majorité des cas.
De la même façon, une dyspnée, qu'elle soit présente au repos ou seulement à l'effort (marche, montée d'escaliers) impose une visite chez le médecin, car les causes en sont multiples et parfois graves.
Une simple mesure, dans un peack-flow-mètre, permettrait déjà de savoir si le souffle est normal ou pas, s'il s'agit d'une sensation subjective sans gravité ou d'une manifestation qui cache une pathologie pulmonaire, souvent bénigne, mais parfois grave.


A partir de cette consultation "de depistage", la consultation chez le spécialiste des Maladies Respiratoires, le pneumologue, permettra l'approffondissement du bilan, qui pourra être rassurant ou mettre en évidence une affection sérieuse, en faire le diagnostic précis et décider du traitement le plus approprié.

Cela demande un plateau technique performant pour réaliser les examens les plus appropriés à chaque situation :

  • Spirométrie pour mesurer de façon précise la capacité respiratoire
  • Gazométrie artérielle (de repos ou d'effort) pour mesurer le taux d'oxygène et de gaz carbonique dans le sang
  • Tests d'efforts cardio-respiratoires pour évaluer les performances respiratoires et cardio-vasculaires à l'effort
  • Polygraphie ventilatoire ou au cours du sommeil, pour détecter les apnées éventuelles
  • Fibroscopie bronchique pour examiner l'intérieur du poumon et faire éventuellement les prélèvements nécessaires (bactériologique ou biopsiques)
  • Scanner et IRM pour préciser les lésions détectées à la radiographie thoracique
  • Ponction pleurale : pour évacuer et analyser le liquide pleural en cas de pleurésie

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